Company NewsJanuary 20, 2022

Faire de la présidence française de l’UE un tournant digital et durable

Le 16 janvier 2022, Florence Verzelen, Directrice Générale Adjointe Industries, Marketing & Développement Durable de Dassault Systèmes publiait une
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Le 16 janvier 2022, Florence Verzelen, Directrice Générale Adjointe Industries, Marketing & Développement Durable de Dassault Systèmes publiait une tribune dans L’Usine Nouvelle. L’occasion de partager sa vision des enjeux clés de la présidence française de l’Union européenne. 

Florence Verzelen, Directrice Générale Adjointe Industries, Marketing & Développement Durable de Dassault Systèmes

D’une crise à l’autre, d’une ambition à l’autre… Il existe parfois des hasards surprenants. Lorsqu’en 2008, la France prenait la présidence de l’Union Européenne, le monde traversait la pire crise économique depuis 1929. En 2022, la présidence française de l’Union Européenne est, à nouveau, marquée par une crise historique. Cette fois, le défi est tout autre. Il n’est plus question de réagir, dans l’urgence, pour endiguer un marasme économique majeur mais de créer les conditions d’un retour à la normale après des mois de pandémie. Le défi est-il pour autant moins crucial ? Pour Florence Verzelen, Directrice Générale Adjointe Industries, Marketing & Développement Durable de Dassault Systèmes, le constat est sans appel ! « La présidence française de l’Union européenne constitue une opportunité unique pour l’Europe du digital ».

Le monde entier est confronté à une révolution du numérique doublée d’une révolution « verte » qui, souligne Florence Verzelen, « transforment en profondeur notre économie et nos industries ». Dans ce contexte si particulier, la présidence française de l’Union Européenne devra être frappée du sceau de la souveraineté numérique. Une souveraineté qui passe par l’émergence de champions du digital à l’instar de Dassault Systèmes qui, par sa capacité d’innovation, constitue un catalyseur de l’excellence numérique « made in France ». Mais Florence Verzelen le rappelle avec force : « cette souveraineté doit inclure celle de nos données. Plus de 80 % de nos données sont hébergées par des fournisseurs de services non européens, essentiellement américains. […] Si nous voulons assurer une souveraineté à l’échelle européenne, il est nécessaire de créer une gouvernance pour garantir le contrôle de nos données et assurer la sécurité de la connectivité ».

Ambition, innovation, transformation, trois piliers fondamentaux qui devront s’incarner dans la présidence Française de l’Union Européenne.

Envie d’aller plus loin de découvrir l’intégralité de l’analyse de Florence Verzelen ? Lisez cet article sur L’Usine Nouvelle.

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